Je ne vous ferai pas l’éloge de la petite robe noire. Je suis persuadée que, vous aussi, vous possédez dans votre armoire cet incontournable de la mode féminine. D’ailleurs, si ce n’est pas le cas, je vous encourage à y remédier trèssssss vite. Vous ne le regretterez pas. 😉
De son petit nom : la PRN.
Non contente de pouvoir s’accorder avec ABSOLUMENT tout (couleurs flashy ou sobres, chaussures improbables ou classiques, bijoux en pagaille), elle est tout simplement parfaite pour toute occasion, du déjeuner professionnel à une cérémonie en passant par un dîner aux chandelles… et peu importe la saison !!
Je ne compte plus le nombre de PRN qui pullule dans mon dressing (5 ou 6 au moins). Pourtant, dès que j’ai eu le patron Yokedress de Salme en main, coton et voile noirs se sont imposés immédiatement. Donc, tissus OK, passons au déchiffrage du patron.
Il faut savoir que les explications sont en anglais, avec peu de dessins explicatifs. Alors, l’anglais commercial, no problem ! Mais la couture en anglais, c’est… comment dire… généralement plus délicat. Autant vous le dire tout de suite, dans ce cas précis, ça ressemblait plutôt à du déchiffrage de chinois avec un dico biélorusse.
J’en profite pour remercier mille fois ma super copine Delf pour ses traductions, son aide et son grand soutien… Aurélie, je ne t’oublie pas, merci aussi pour tes encouragements. 😀
J’ai fait plusieurs recherches pour trouver des explications et quelques visuels de cette robe réalisée par d’autres blogueuses. Et bien, il n’y a pas vraiment grand chose… à croire que ce patron n’a pas fait fureur. Pourtant, le rendu est génial.
Si vous êtes intéressées par la réalisation de la Yokedress, voici quelques indications qui me semblent importantes et qui mériteraient de figurer dans le descriptif.
Si vous utilisez du voile ou de la dentelle, pensez à thermocoller avec des bandes de 0.5cm de vlieseline tous les bords de votre tissu. Ca lui permettra de ne pas se déformer et facilitera la couture.
La couture des arrondis du buste est délicate. Il faut procéder comme pour le montage des manches en résorbant l’embue. Je vous conseille de vous entraîner avant.
Le patron de la jupe est erroné. En effet, celui-ci est dessiné pour réaliser des plis couchés et sur le dessin correspondant, il est montré des plis plats (au passage, je trouve ça plus joli). Pas d’inquiétude, il suffit de recouper le surplus de tissu une fois épinglé correctement.
Terminez l’assemblage de la robe par la couture des épaules. Ca permettra de reprendre la ligne d’épaules au besoin, évitant ainsi que les emmanchures baillent.
Enfin, pensez à bien repasser en arrondi les biais avant de coudre ces derniers.
En d’autres termes, je déconseille ce modèle aux grandes débutantes. Et n’hésitez pas à me contacter, si vous voulez d’autres explications.
Une seule modification apportée au patron, la jupe a été allongée de 10 cm, ourlet de 3 cm compris (pour rappel, je suis grande).
Seule fantaisie de cette robe, la couture d’ourlet est faite avec un point de broderie.
Photo prise au fond du jardin entre deux averses et deux coups de vent !! 🙄
Tissu Coton : Les coupons Saint-Pierre – Zip : Myrtille – Patron : Yokedress de Salme
Il va falloir un nouveau jupon pour aller avec cette robe pour espérer garder le volume de la jupe. Jupe d’ailleurs qui ne me convainc pas plus que ça… J’étudie déjà une prochaine version en coton rouge et voile marine à fleurs rouges, et peut-être associée à la jupe de la Belladone.
Je vous laisse avec un vieux tube (je sais, encore !!) de Mecano – Hijo de la luna.
C’est quoi le Liebster Blog Award ? Comment ça fonctionne ?
Cet award a pour but de faire découvrir des blogs peu connus, ayant moins de 200 abonné(e)s.
La marche à suivre est toute simple : on commence par dire 11 choses sur soi, puis on répond aux 11 questions posées par la personne qui nous a nominé(e), enfin on nomine 11 blogs à qui l’on pose 11 questions (sans oublier de mettre un lien vers le blog de la personne qui nous a nominé(e)).
Allez ! Je joue le jeu et je me livre… mais c’est juste pour faire plaisir à la toute douce Tasticottine qui m’a nominée (merci merci merci). Vous êtes bien installée ??
11 confidences :
J’adore les films « catastrophe »…
Tremblements de terre, avalanches, éruptions volcaniques, tornades ou ouragans, je prends tout ! Oui, oui, j’ai honte. 😕
J’ai la phobie des araignées.
C’est irrationnel et incompréhensible (normal, c’est une phobie), mais la seule vue de cette bestiole me rend malade et difficilement contrôlable.
J’ai un tic.
Je ne peux m’empêcher d’astiquer ma cuisine quand je parle aux copines au téléphone. Sans que je ne m’en aperçoive, j’attrape éponge et produit et je brique la cuisine tout en papotant durant des heures. L’avantage, c’est que ça fait une corvée de moins une fois raccroché.
J’aime le cinéma.
Suivant les sorties intéressantes, je peux aller 4 ou 5 fois au ciné par mois. Le dernier film que j’ai vu est Pop Redemption pas plus tard que mercredi. J’ai passé un très bon moment avec cette comédie où joue, notamment, Julien Doré.
J’ai deux adolescents de 14 et 15 ans.
Deux garçons (Fils Ainé et Number 2 de leur petit nom) et je pourrais écrire un roman sur eux tant ils sont remplis de « conneries ». J’entends par là, qu’ils ont une bonne dose d’humour, sont espiègles, ont un esprit vif et ne sont pas les derniers à me faire mourir de rire. Je les aimeeeeeeeeeeee mes ados.
Je me suis mise à la luminothérapie.
J’ai cru que j’allais m’enfoncer dans une dépression tant le soleil m’a manqué. Alors, petite cure tous les jours avec mon mes cafés du matin… ça fait un bien fou.
Je dors peu, très peu.
Surtout en ce moment. J’enchaîne les petites nuits de 1 à 5 heures durant la semaine. Le week-end, je me rattrape, j’arrive à dormir 6-7 heures.
Je rêve de m’offrir la Janome SMD4000 ou l’Innovis 50.
Un jour peut-être !
J’aime la mode vintage.
En particulier, les robes des années 50. Elles mettent en valeur la poitrine et la taille (tout ce que j’ai eu du mal à assumer) et je me trouve même jolie dans ces robes.
Je ne m’ennuie jamais.
Mais vraiment jamais ! Même quand je ne fais rien, allongée dans le hamac au soleil, je ne sais et n’ai jamais su ce qu’était l’ennui.
Je ne peux me passer de musique.
Que je sois en voiture, à la maison, devant mon PC, entrain de coudre, en me couchant, au bureau, j’écoute de la musique (une préférence pour les années 80).
Là, tout de suite, maintenant… RIEN ! J’ai cramé ma dernière cousette. 😥
Ordonnée ou bordélique ?
Question complexe. Je suis plutôt du genre bordélique… à la maison. Par contre, dans mon boulot, c’est tout le contraire.
La couleur que tu n’aimes vraiment pas ?
J’aime toutes les couleurs je crois. Par contre, j’ai beaucoup de mal à porter autre chose que du noir et du rouge… mais je me soigne. Ha si, je sais !! Je ne suis pas très fan du violet.
Tu faisais quoi hier à 21h47 ?
C’est à peu près l’heure à laquelle j’ai brûlé ma dernière cousette justement. Un petit haut en satin et dentelle. Je crois que j’en aurais pleuré. Il ne me restait plus qu’à rabattre le biais d’ourlet et finir avec une dernière ligne de couture.
Tu gagnes 1000€ à un jeu de hasard, qu’en fais-tu ?
On part une semaine en vacances au mois d’août . On ira pas bien loin avec 1000€, mais une semaine sous le soleil de Dordogne me suffirait. 😀
Un fashion faux pas qui te fait encore rougir quand tu y penses ?
Ca a dû m’arriver… mais je ne m’en souviens pas. En fait, je crois que je m’en fous ! Fashion ou pas, je fais un peu comme je le sens, même si j’aime tout ce qui touche à la mode. 😎
Le truc qui t’intimide encore en couture ?
Le jersey. Ce n’est même plus de l’intimidation à ce stade, c’est carrément de la haine ! Le jersey ne m’aime pas… à moins que ça ne soit ma MàC qui n’aime pas le jersey. Et pourtant, j’ai tout essayé : les aiguilles spécial jersey, aiguilles doubles, les points zigzag, élastiques et autres encore.
Tu préfères coudre quand ? Le matin, l’aprèm, le soir ou la nuit ?
Peu m’importe. Je n’ai pas de moment préféré… je dirais plutôt que j’aime coudre quand je suis seule à la maison. Pas besoin de faire de pause pour préparer le repas ou de ranger mon fatras.
Un pays où tu n’iras jamais ?
Ne jamais dire jamais ! Toutefois, je suis peu attirée par les pays nordiques. Forcément, quand on se sent bien uniquement lorsqu’il fait 30° et avec 16 heures de soleil par jour, je me vois mal partir pour la Laponie.
Si tu pouvais changer quelque chose à ton apparence physique, tu changerais quoi ?
Alors là, facile. Il y a tellement de choses que j’aimerais changer. 😀 Mais je commencerais par mon ventre, enfin plutôt ma cicatrice de césarienne qui me complexe à mort.
As-tu un tic de langage ?
« Petit ». J’ai beaucoup de mal à ne pas ajouter « petit » à tout bout de champs. Un petit truc par ci, un petit machin par là, un petit bidule encore…
La vie est jalonnée de premières fois : la première gamelle en vélo sur les gravillons, la première rentrée perdue dans un collège immense, le premier baiser échangé en catimini, la première coupette de champagne qui fait tourner la tête, la première leçon de conduite avec la voiture de papa, les premières vacances entre copains à enchaîner les nuits blanches, …, et la première couture d’un pantalon.
First time but not the last one.
Clotilde et Le Papillon ont réussi à me convaincre que la couture d’un pantalon était à ma portée. Et pour enfoncer le clou, Zakiko Jones et sa revue de presse ont définitivement balayé toutes mes indécisions.
Lorsque je l’ai vu, je savais. Impossible de vous expliquer pourquoi, comment, mais je savais. Ca serait ce pantalon et pas un autre.
Il s’agit d’un modèle Simplicity, découvert dans le dernier Tendances Couture. Un pantalon extra large avec des poches à l’italienne, des pinces, un zip sur le côté et de larges passants… le pantalon de mes rêves quoi !
J’ai longuement hésité pourtant avant de commencer. J’ai sorti un nombre incalculable de fois, magazine, tissus, machines avant de me dégonfler et tout ranger. Idiot non ?!! 😕 Mais la peur de me louper était à chaque fois la plus forte. Et puis, le premier pas étant toujours le plus difficile, je me suis enfin jetée dans le vide.
Le tissu est du crêpe rouge avec un tombé dément, lourd et fluide. Pour la ceinture intérieure, j’ai dégoté une micro chute de coton qui permet au pantalon de bien se tenir.
La seule modification faite pour avoir le pantalon de mes rêves, a été d’allonger le patron de 10 cm (6 cm auraient suffit).
Résultat ? Fingers in the nose. Je passerai toutefois sous silence, les heures de couture à la main devant Roland Garros. 😉
Tissus et Zip : Myrtille – Patron : Modèle 18 Tendances couture n° 9
On pourrait se dire que le prix est un peu élevé. Mais que nenni ! Ce pantalon n’a pas de prix à mes yeux. Imaginez… c’est mon tout premier pantalon et c’est le tout premier qui ne me donne pas l’impression d’aller à la pêche aux moules (j’éxagère à peine) ! 😀
Allez, il se fait bien tard, ou tôt, c’est au choix puisqu’il est 5h00 du mat’ et que je n’ai pas fermé l’œil de la nuit. Toujours est-il que le réveil, lui, va sonner à 7h00. Je file sur la pointe de pieds et vous laisse avec Avril Lavigne – I’m with you, qui passe à l’instant même où j’écris.
Je n’arrive pas à me défaire de certaines obsessions. Il y en a une bien particulière depuis quelques temps qui est le « Top Peplum ».
Dès que je croise un patron de hauts ou de robes, je m’imagine les modifications qu’ils seraient possibles de faire pour parvenir au résultat. Je profite donc des essais de certains modèles pour tenter la transformation (et je ne vous parle pas de rugby là 😀 ).
J’avais évoqué lors de ce billet le problème de taille rencontré pour la toile de ma robe. Pour tenter d’arranger les choses, j’ai ajouté une bande noire dans le dos au niveau du zip et 2 mètres de biais noir. Mais après l’avoir porté toute une journée, je ne sais toujours pas si ce top me plait ou non.
Ni tout blanc, ni tout noir.
Je crois que s’il avait été tout blanc (ou tout noir), je ne me poserais pas toutes ces questions ! Là, je reste dans le doute. Rassurez-vous tout de même, je me pose d’autres questions bien plus existentielles que celle-ci. 😕
Donc, en bref et en photo, ça donne ça.
Tissu : Boubou – Zip et biais : Myrtille – Patron : Simplicity 2444
Alors ?? Je récupère mon zip et je laisse définitivement tomber ce haut ou j’insiste ??
En attendant vos réponses, je repars écouter The Christians – Words. Un grand succès des années 90 que je n’avais pas entendu depuis… une éternité.
Je crois que ça n’aura échappé à personne, je voue une passion pour les jupes et robes en tout genre. D’ailleurs, depuis quelques semaines, je me suis sérieusement penchée sur les robes vintage… les robes des années 50…
Let’s twist again.
Plusieurs modèles m’ont tapé dans l’oeil, comme celui-ci ou encore celui-ci. Et après quelques recherches sur le net, il s’avère que la patron Simplicity 2444 est parfait pour débuter. Ca ne pouvait pas mieux tomber, cette pochette prenait la poussière depuis quelques années dans ma bibliothèque.
J’ai commencé par faire une toile du buste (je sais, ça ne vous étonne plus). Bien m’en a pris en tout cas. Je m’étais basée sur les mensurations inscrites directement sur le patron. Emballée et pressée de voir le résultat, les machines ont carburé à plein gaz.
Sauf qu’après essayage (pratiquement à la fin, c’est plus sympa), c’est la grosse déception. Il faut tout simplement arrêter de respirer si je veux rentrer dedans. Je rechigne un peu à faire la taille au dessus. Bouuuuh !! Pas très bon pour l’image de moi-même. 😥
Il faut se rendre à l’évidence, plus le choix, on recommence tout. Et là, je m’aperçois que les indications de taille sont différentes entre le patron et la pochette. Ouf ! Il faut effectivement la taille au-dessus, mais rien à voir avec mon poids, juste une erreur de report entre les mesures, la taille anglaise et la taille française. 😀 La toile n’est pas perdue, j’ai déjà ma petite idée pour porter cet essai, mais je vous en parlerai un autre jour.
Revenons à la robe ! Pour l’occasion, j’ai passé commande aux Coupons de St-Pierre d’un très beau coton marine à pois blancs. A peine reçu, il était lavé, séché et repassé (ses petits copains aussi… 😳 ). Le lendemain, tout mon fatras était sorti et j’ai attaqué les choses sérieuses. Version manches courtes et poches prises dans les coutures.
Aucune modification du patron. Ha si, une toute petite… obligée d’ajuster la partie haute du dos au niveau du zip qui avait tendance à former un petit « bec ». Autant dire, rien du tout.
Tissus : Coupons de St-Pierre – Zip : Myrtille – Patron : Simplicity 2444
Est venu ensuite la question d’un jupon ou non. La robe semble assez « plate » sans. Mamie et son jupon ont été d’une aide précieuse.
Finalement, le mien est en taffetas (pas de tulle, ça gratte trop) et donc simplifié. Je compte tout de même en refaire un en coton ou sorte de voilage pour plus de souplesse.
Tissus et élastique : Myrtille – Patron : d’après le jupon de Mamie
Il faut savoir que j’ai bouclé la robe et le jupon en moins de 4 jours pour pouvoir la porter à l’anniversaire de ma maman ce week-end. Il me manquait pourtant 2 accessoires indispensables : une ceinture et un petit gilet. Ceinture trouvée 6 heures avant mon départ et gilet déniché par hasard le samedi matin.
Je vous le dis ou pas ?? J’adoreeeeeeeeeeeeeeeee ma robe ! Je pense que cette forme me convient particulièrement bien… non ??
Je vais poursuivre mes investigations concernant la couture vintage. 😀
Je n’en rajoute pas plus, j’ai été suffisamment bavarde.
La tentation de craquer pour des modèles vus et revus un peu partout sur la blogosphère est souvent grande. Pourtant, à y regarder de plus près, nombreux ont des coupes mal pensées, des patrons non maîtrisés voir des copies simplifiées et ne parlons même pas du prix… Et parfois, au milieu de tout ça :
Il y a des évidences.
C’est ce que j’ai pensé lorsque j’ai repris la couture, il y a quelques mois, et découvert les patrons Deer & Doe. Eux et moi allions faire un bout de route ensemble.
Tout d’abord, je constate que les modèles s’adaptent vraiment à tout type de morphologie (pas besoin de faire 1m80 et 45 kg toute mouillée).
Ensuite, les variations autour d’un seul et même patron sont nombreuses (pour vous faire une idée, allez sur le blog des addicts).
Certes, on peut se dire que le prix reste élevé par rapport au prix d’un magazine Burda. Mais au final, c’est juste incomparable. Qualité et soin sont apportés à chaque pochette. Les instructions du livret sont claires, les marges de couture comprises, les patrons lisibles… Et Eléonore, la créatrice de cette petite marque française, assure un excellent suivi via son blog.
J’ai jeté mon dévolu sur l’Airelle pour débuter. Pour cette version, un coton blanc rayé ton sur ton et les chutes de coton noir utilisé pour la tunique goutte d’eau me paraissaient parfaits.
Les seules modifications apportées sont :
Un passepoil fait maison.
Une encolure plus creusée et parementure plus large.
Une bande noire ajoutée pour allonger la tunique.
J’avais vu juste ! C’est un régal à porter et j’adore le chic de cette tunique.
Tissus : Myrtille – Patron : Airelle de Deer & Doe
Un prix un peu élevé pour cette première Airelle, mais j’ai déjà quelques idées pour amortir rapidement le patron : une version combinant du voile (ou dentelle) et du coton, une autre avec un boutonnage dos, encore une dans une forme blouse, …, et plus encore !
Pour le moment, je me concentre sur les tests de ma future robe. Il me reste 4-5 jours si je veux l’étrenner pour l’anniversaire de ma Môman. Et je suis encore sur les modifications de la toile. 😯
Je vous souhaite une bonne fin de wee-end avec Étienne Daho (l’un des beaux-gosses de mon adolescence) – Ouverture.
Avec quelques heures d’avance, me voilà de retour avec le défi Combo Mésange. J’ai vraiment aimé travailler ces couleurs, même si j’ai changé 10 fois d’idées en cours de route.
N’ayant pas de tissu qui regroupe la totalité de ce combo, j’ai tenté d’assembler ce que j’avais (pour un résultat plus ou moins probant). Et au final, je ne vais présenter que 3 réalisations. La 4ème n’est toujours pas finalisée.
Pour commencer, je vous montre la robe « canard ». Et comme chaque vêtement que je couds, cette robe a son histoire.
Tout est parti des dos boutonnés que j’ai vu pulluler un peu partout depuis des semaines. Si je m’écoutais, j’en mettrais à toutes mes fringues (j’ai encore 2-3 projets en tête d’ailleurs).
Déjà portée plusieurs fois, c’est un vrai bonheur. Elle est fluide et suis tous les mouvements. A assortir avec le tour d’épaule ou le petit gilet moutarde de ma garde-robe.
Impossible à photographier, je vous assure pourtant que ce tissu est vraiment bleu canard.
Pour le second projet, je suis partie sur un ensemble blouse/jupe.
La blouse m’a été inspirée par Hachis Parementure. Renseignement pris, j’ai testé sur une toile et le résultat m’a plu. Pour la jupe crayon, rien d’original, si ce n’est que j’ai ajouté 2 liens à nouer (recyclage de la robe « Drame »).
Je vous montre tout de même la 4ème réalisation inachevée. Il s’agit d’un sac. Mais il a été mis de côté, n’arrivant pas à obtenir exactement le résultat que je veux !
Je ne vais pas en ajouter plus, ce billet est suffisamment long comme ça 😕 mais pour celles qui ont participé au défi, c’est à votre tour.
Ajoutez dans les commentaires, le lien vers votre article ou la photo de votre réalisation. Je ferai un montage dans quelques jours.
Pour mon dernier week-end entre filles, j’ai eu l’envie d’emporter dans ma valise un petit haut pour sortir le samedi soir. Une tunique qui serait à enfiler sans prise de tête, parfaite avec un jeans, suffisamment chaude pour la saison (alors là, complètement loupé… il a fait un froid de canard !!) et surtout une tunique qui serait un tant soit peu originale.
C’est la goutte d’eau qui fera la différence.
On ressort notre patron chouchou, celui de la robe « 4 saisons » et on vide le bahut pour trouver le bon coupon, un coton noir épais et tout doux. Il ne reste plus que trois heures pour modifier le patron, couper le tissu et tout assembler. Allez ! On perd pas de temps.
Pour les modifications :
La robe s’est transformée en tunique.
Pas de zip et dos en un seul morceau.
Pas de doublure.
Deux fentes sur les côtés.
Une encolure goutte d’eau faite à main levée.
Un anneau en métal pour pouvoir ajouter un bijou.
Des manches 3/4 élastiquées.
L’astuce à retenir, c’est le bijou à ajouter ou non et qui se fixe grâce à un fermoir mousqueton. Pas besoin de vous dire que j’adore cette tunique. 😳
Vous ne trouverez pas de ticket aujourd’hui, j’ai oublié d’enregistrer le prix de ce tissu dans mon fichier… mais il devait être aux alentours de 6 ou 7 € le mètre. Quant au bijou, c’est de la récup.
Petit rappel pour le Combo Mésange, les copies sont à rendre pour après demain. J’ajouterai un billet où vous pourrez poster le lien vers votre réalisation.
Je vous laisse avec ce clip superbe et cette magnifique chanson de Gary Jules – Mad World.
Après vous en avoir parlé ICI avec une toile en coton noir, puis ICI avec un tuto pour ajouter une doublure et enfin ICI pour le défi des Serial Défieuses, ma fameuse petite veste d’inspiration Dior est ENFIN terminée. Pour être plus exacte, j’ai ENFIN trouvé un peu de temps pour quelques photos !
Pour la petite histoire…
Tout a commencé lorsque, au détour d’une balade dans les méandres de google images, je suis tombée nez à nez avec un ensemble blanc cassé de Christian Dior. J’ai tout de suite accroché avec la très jolie veste style spencer sans col. J’avoue, je suis littéralement tombée amoureuse de cette veste.
J’ai longuement hésité entre deux patrons Burda, la veste Chanel et la veste Dior (oui, je sais, un peu paradoxal… mais c’est tout moi ça 😕 ). Et j’ai effectivement pris le modèle Dior.
Pour les modifications apportées au patron :
Suppression des poches.
Réduction d’une taille au niveau de la taille et des hanches.
Au final, la veste est un peu grande avec un tee-shirt alors que la toile faite en coton noir tombe impeccablement. Le bon côté des choses est qu’elle permet de porter facilement un pull fin en dessous.
J’ai encore quelques petites choses à vous montrer, mais je les garde pour la fin du mois 😀 . J’en profite pour vous rappeler qu’il reste pratiquement 2 semaines pour participer au défi Combo Mésange… Pensez à ajouter le 30 avril un message dans l’article précédent avec un lien vers votre création et je compilerai le tout.
Et pendant que j’y suis, je vous glisse une super occaz’ pour participer à un jeu, avant le 24 avril, organisé par l’adorable Clo’s (au cas où vous ne la connaissez pas encore, foncez sur son blog). Une très jolie création de votre choix parmi les patrons Deer&Doe a gagné pour le premier anniversaire de son blog.
Je file et vous laisse en musique avec Hooverphonic – Mad About You.